
Diz-me com quem andas dir-te-ei quem és...
"É MUITO DIFÍCIL QUE NÃO SENDO HONRADOS OS PRINCIPAIS CIDADÃOS DE UM ESTADO, OS OUTROS QUEIRAM SER HOMENS DE BEM; QUE AQUELES ENGANEM E ESTES SE CONFORMEM COM SER ENGANADOS." MONTESQUIEU, De l'Esprit des Lois,I:III,5
Adenda: Prefiro dezenas de pedófilos chateados a fazer perigar a segurança e o direito a uma vida condigna de uma só criança, seja portuguesa, inglesa, cigana, preta ou o que for...
Segunda adenda: Se for português para mim é igual... eis um bom exemplo: aqui
Cliquem em cima dele para o ouvir ou no link em baixo
Paroles et Musique: Jean-Louis Aubert/Téléphone 1980 "Au coeur de la nuit"
J'avais un amie / Mais il est parti / Ce sens à ma vie / Il n'est plus en vie / Il m'a tout donné
Puis s'est effacé / Sans me déranger / Et je crois j'ai pleuré / J'ai pleuré
Tout au fond / L'air d'un con / Envie de me cacher / Voudrais bien m' essayer / Voudrais bien continuer, continuer / Un moment, un instant / J'ai cru oublie / En parlant, en marchant /A Paris,à minuit, dans ma ville
Quelques mots perdus /Dans la nuit /Quelques mots qui traînent /A minuit / Quelques mots qui cognent/ Dans la nuit / Mais la nuit ne peut pas entendre
Non la nuit ne peut pas comprendre / C'est à croire, que la nuit n'a pas de cœur / pas de coeur
J'avais une amie / Maintenant c'est fini / Un sens à ma vie / Mais je n'ai plus envie plus envie, / Et j'ai tout donné Pour elle / J'ai tout dépensé / Pour ce souvenir / Ce rêve éveillé, réveillé / Plus un rond
L'air d'un con / Envie de me cacher / Voudrais bien essayer /Voudrais bien continuer, continuer
Un moment, un instant / J'ai cru oublier / En parlant, en marchant / A Paris, à minuit, tout près d'ici
Quelques mots perdus / Dans la nuit / Quelques mots qui traînent / A minuit
Quelques mots qui cognent /Au cœur de la nuit / Mais la nuit ne peut pas entendre
Non la nuit ne peut pas comprendre / C'est à croire, que la nuit / N'a pas de cœur
Poderia compreender tudo, todas as necessidades de contenção, de poupança, etc, etc. Porém, esses senhores governadores, governantes e presidentes deveriam começar por eles… Ninguém até hoje me conseguiu explicar o porquê desses parasitas sociais acumularem reformas, prebendas e ganharem ordenados e mordomias astronómicas, enquanto pedem aos outros que apertem o cinto… Não pode ser… Não podemos continuar a ser os carneiros que temos sido até agora, não podemos ver esses tipos gozarem connosco impunemente, ainda por cima com todos os negócios mal feitos, derrapados e corruptos donde nunca ninguém sai culpado. Começa a ser tempo de, muito seriamente, mandar à merda estes patifes…
ANTISOCIAL, Trust, 1980, "Répression
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre ton tombale,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro.
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas.
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle.
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balles.
Tu voudrais donner des yeux à la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu perds ton sang-froid.
Repense à toutes ces années de service.
Antisocial, bientôt les années de sévices,
Enfin, le temps perdu qu'on ne rattrape plus.
Ecraser les gens est devenu ton passe-temps.
En les éclaboussant, tu deviens gênant.
Dans ton désespoir, il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins bâtards.
Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Relève la gueule, je suis là, t'es pas seul
Ceux qui hier t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient.
Antisocial, tu perds ton sang-froid.
Repense à toutes ces années de service.
Antisocial, bientôt les années de sévices,
Enfin, le temps perdu qu'on ne rattrape plus.
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro.
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas.
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle.
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balles.
Tu voudrais donner des yeux à la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial...